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dimanche 3 juillet 2011

L'histoire et le developpement entrepreneurial, une affaire à suivre.

Après quelques lectures de livres historique, et une révision de mon parcours professionnel contrebalancé à mon parcours d'étudiante et tout cela mixé sous une température d'environt 35 degrés le jour où je me trouvais en Picardie, à la recherche d'une salle de cours dont le nom correspondait justement à un dortoir d'élève inconnu, jeune et naïf avec tout le charme que la naïveté et jeunesse d'un inconnu, d'un élève dominé par la direction de son prof et de son environnement d'étudiant peut entrainer; je me suis dit la chose suivante: ahhh!! que l'esprit humain est peu raisonnable, qu'il manque d'innovation!! Et pourtant, il existe pas mal de matières d'enseignement universitaire dont le titre est : innovation et developpement, par exemple.

Si je repense à mes enseignements de master II, lequel?? Le dernier, tu sais, celui où je devais aussi étudier la publicité et la communication, que j'avais fait JUSTEMENT parce qu'il approfondissait là dessus (approfondir + adverbe de position supérieure... l'approfondissement n'implique-t-il pas d'aller vers ce qui est à l'origine?? en ligne verticale plutôt vers le bas que vers le haut?? Et construire c'est le contraire, aller vers le haut, tout comme les gratte-ciels).
J'ai perdu le fil... attends que je le recupère.

Il est bleu, tu ne le vois pas?? Bleu couleur France.

Comme je disais, lors de mon dernier master j'avais dû étudier LE PROTOCOLE INTERNATIONAL, car, la connaissance de l'étiquette, était une manière de se faire remarquer sur les autres entreprises en tant que "entreprise distinguée". C'est-à-dire que, prendre une habitude, pensée, culture d'ailleurs et la ramèner à son terrain est ce qui serait de l'ordre de l'innovation. Ce n'est donc pas ses inventions ce qu'il fqut préserver, sous l'ordre des brevets d'invention, mais ses connaissances menès d'ailleurs. Voilà pourquoi résider en contact avec des populations autochtones étrangères semble si important, et plus on va loin, plus riches nos apports apparaîtront aux yeux de la société. Mais le monde, est petit. au bout d'un moment, il devient petit.

Les lectures, sont un autre moyen de s'enrichir. Mais là, on entre dans ce qu'on appelle un système: système implanté par l'homme et pour l'homme. Car, qu'est-ce qu'on lit?? Lisons-nous ce que nous voulons, ou lisons-nous ce qu'on nous laisse lire??
La censure et ses différentes formes existantes toujours de nos jours, la création littéraire ou son manque, le prix du flux de connaissances qui augmente selon les nécéssités du marché [...] et, dans certains marchés économiques conséquence des décisions politiques, ce marché est pauvre. Trop pauvre.

[...] ne font que déterminer la pensée des individus d'une société. Qu'est-ce qu'on veut comme société?? Voulons-nous une société qui réclame ses droits?? Non, car cela entrainerait des émeutes et la baisse de la productivité et par conséquent une perte des investissements étrangers qui partiraient volontiers en Inde ou en Chine où, attention, il existe de plus en plus de diplômés universitaires dont la main d'oeuvre serait de bonne qualité, mais l'esprit critique aussi.
Voulons-nous une société soumise aux ordres des supérieurs? Soient-ils parents, professeurs, chef d'entreprise?? Bien sûr car cela attirerait l'investissement des grands comptes. Que faire alors?? Priver nos élécteurs de connaissances intellectuelles comme celles procurées par Jung, Marx, Chomsky et bien d'autres plus récents. Comment faire?? Il y a quelques années c'était le marketing, la publicité et les moyens de communication. Le gouvernement procurait des aides financières à tous ceux qui voulaient achèter une radio, en début du XXè siècle, une télé, en milieu du XXè siècle et, de cette manière, à travers la radio ou la télé, on nous disait ce qu'il fallait consommer, mais on ne nous montrait pas tous les choix ni possibilités. Si Jung, Marx ou Chomsky n'apparaissaient pas à la télé, personne ne les connaîtrait, et, malgré ses oeuvres et ses travaux, personne ne les lirait et ils mouraient dans nos esprits sans avoir eu la chance d'y naître.
Avec internet, une nouvelle manière de manipulation est survenue, celle des réseaux. Comme des troupeaux de moutons, le gouvernement essaye de nous contrôler, et, selon les intérêts on peut accèder à certaines pages web dans un pays que dans l'autre... n'existent pas!!!

C'est-à-dire que, en prenant le schèma de communication de Jacobson, nos messages passent sur un canal qui devient ici internet (les blogs, facebook ou simplement notre boîte mél) et ce canal est surveillé par des institutions qui autorisent ou defendent cette transmission. Ces institutions sont integrées par des hommes et de femmes qui peuvent devenir "cools" ou "méchants" selon leur retribution et travailler donc en faveur de l'Etat ou d'un organisme privé et donc contre l'Etat. Personne ne voit dans ces bonhommes la réincarnation d'un Francis Drake?? Personne ne voit dans la Toile une nouvelle zone géographique?? et dans l'intéraction des internautes des richesses "exploitables".

Comme je disais au début de mon exposé, l'innovation n'existe pas.